TPE
I
.Introduction:
Etymologie
:
Les
cyclone se développent à partir de
dépressions tropicales, lorsque l’eau est chaude
et l’évaporation suffisamment importante.
C’est la raison pour laquelle ils n’existent que
dans certaines régions du Globe. Ils sont appelés
ouragans, typhons ou cyclones, selon s’ils apparaissent dans
l’Atlantique, le Pacifique ou l’océan
Indien.
Le
mot cyclone vient du grec « Kuklos » qui veut dire
cercle.

La
dénomination d'une tempête tropicale
diffère, selon la région où elle se
manifeste.
On parle d'ouragans dans les régions autour du Golfe du
Mexique (Cuba, Haïti, Mexique, Honduras, Sud des USA). Les
typhons menacent pour leur part les pays d'Asie du Sud-est: Japon,
Chine, Philippines. Enfin, dans l'océan Indien, on utilise
plutôt le terme générique de cyclone.
Le mot Hurricane est la transcription anglaise du mot hispano-antillais
Huracan désignant les tempêtes tropicales ou
cyclones de la zone américaine. Le mot ouragan est la forme
francisée du nom hurricane.
Définition :
Un cyclone, phénomène de très basse
pression, est une perturbation atmosphérique
tourbillonnaire, accompagnée de vents puissants
(dépassant parfois les 300 km/h), de pluies diluviennes, et
de vagues énormes, qui se forment sur les océans
chauds de la zone intertropicale.
Les nuages s'enroulent autour d'un centre appelé "oeil du
cyclone", et ce dans le sens des aiguilles d'un montre dans
l'hémisphère sud, ou dans le sens contraire dans
l'autre hémisphère. Cet oeil est
caractérisé par une zone de calme plat, ou il
fait très souvent beau temps. Mais c'est en bordure de
l'oeil (dans un rayon de 20 a 30 kilomètres) que se trouve
les pires conditions, avec des vents dévastateurs. Cette
zone terrible est appelée "le mur de l'oeil".
Le diamètre du cyclone est de plusieurs centaines de
kilomètres. Celui de l'oeil varie entre 20 et 50 km, et peut
atteindre très rarement les 80 ou 100 km. La masse nuageuse
occupe toute la troposphère et atteint 12 a 15
kilomètres d'épaisseur.
Un
cyclone a trois parties principales :
a) L’oeil du cyclone,
la zone dépressionnaire centrale circulaire,
sans vent, qui favorise les flux de vapeur
d’eau ascendants. Il est caractérisé
par des vents faibles, une pression atmosphérique
basse, ainsi que des températures plus
élevées que dans le reste du
cyclone et par un temps dégagé.

b) Le mur de l’œil :
muraille nuageuse située à la
périphérie de l’œil
d’une hauteur de 14000 à 18000
mètre .C’est une sorte d’anneau
tourbillonnaire où on trouve les vents
les plus violents, lesquels sont accompagnés
de cisaillement verticaux, qui ont pour origine
les masses d’air froid descendantes
et d’air chaud montantes.
Les précipitations y sont les plus
importantes.
c)Une couverture nuageuse
centrale dense : une zone concentrée
d'orages et de bandes de pluie entourant la
dépression centrale. Les cyclones tropicaux
avec une couverture centrale symétrique
ont tendance à être intenses
et à bien se développer.
II. Formation et mort
d’un cyclone
Video explicative
Naissance
d’un cyclone :
Ils
se forment généralement au-dessus de
l’océan, dans les zones intertropicales, en
majorité comprises entre les 5e et 25e parallèles
(de 8 à 15° au nord et au sud de
l’Équateur), des deux
hémisphères. Les zones les plus chaudes de
l’océan sont à l’origine de
la plupart des cyclones.
Un cyclone tropical ne se forme que si plusieurs conditions
environnementales sont réunies :
* Un cyclone se
développe grâce à une très
forte humidité.
Cette humidité engendre de petits nuages qui
s’abattent sur les côtes, Souvent ces
tempêtes se dissipent et meurent.
Mais quand l’océan se réchauffe entre
juin et novembre, ces tempêtes se transforment en
véritables monstres.
La formation d'un cyclone est impossible pour une humidité
inférieure à 40 %,
•
La température de l’océan est
d’au moins 26,5°C sur une profondeur de 60
ou plus qui permet une
évaporation intense.
En effet, les
ouragans tirent leur énergie des eaux chaudes des tropiques
et de la chaleur de la condensation.
Cette vapeur d’eau chaude va être
aspirée verticalement créant une forte
dépression dans
l’ oeil du cyclone, accélérant ainsi
l’évaporation, puis en montant, sur des hauteurs
de 10
km à 15 km, va se recondenser en eau pour former les pluies
qui suivent le cyclone.
La chaleur latente de cette condensation est le carburant direct de ce
phénomène .
•
L’atmosphère qui se refroidit rapidement avec
l’altitude, ce qui la rend instable.
Une atmosphère qui se refroidit rapidement avec
l’altitude, donc potentiellement instable.
Ce refroidissement provient d’un courant de masse
d’air froid (et donc lourd) venant du
Pôle qui se mélange avec la haute pression sur
l’océan, elle-même
générée par
l’ensoleillement et l’augmentation de la
température atmosphérique.
Si l’air est instable, il continue à monter, et la
perturbation s’intensifie, ce qui ne se produit que si les
vents de tous les niveaux de l’atmosphère
soufflent à la même vitesse et dans la
même direction. Autrement dit, il doit y avoir peu de
cisaillements verticaux du vent.
Dans le cas contraire, l'énergie
développée par le système va se
disperser
* Dans les zones de
latitudes comprises au-delà de 5° (environ 500Km) de
part et d’autre de l’équateur
(zones tropicales), car sinon la force de coriolis
(voir annexe) est
trop faible. En effet, c’est la force de Coriolis (effet
produit pas la rotation de la Terre) qui donne au cyclone son mouvement
en spirale et qui maintient les basses pressions
atmosphériques de la perturbation. Cette force,
engendrée par la rotation terrestre, imprime une
déviation du vent vers la droite dans
l'hémisphère nord et vers la gauche dans
l'hémisphère sud. Elle est nulle à
l'Équateur. C'est elle qui intervient pour
déclencher le mouvement tourbillonnaire initial.
* Présence
d’un centre de hautes pressions dans la haute
atmosphère au-dessus de la tempête naissante.
L’air de ce centre de hautes pressions
s’éloigne du centre tourbillonnaire, laissant la
place à l’air ascendant de la tempête,
ce qui encourage encore plus le mouvement ascendant, créant
l’aspiration de l’eau du plan océanique.
Ce centre de hautes pressions est en quelque sorte
l’échappement de la tempête.
Dans
le mouvement des vents entre les zones de hautes et basses pressions un
équilibre se crée entre la force de Coriolis,
centrifuge, et la force qui les attire vers le « creux
» de la dépression (force de gradient de
pression). Il en résulte un mouvement d'enroulement des
vents autour de la zone de basse pression

Remarque :
Il ne se forme pas toujours d’ouragan lorsque ces conditions
sont réunies, mais l’ouragan ne se forme que si
elles le sont.
Aucune formation tourbillonnante ne peut se former entre les latitudes
5° Nord et 5° Sud ainsi que à
proximité de l’équateur car la force
Coriolis y est faible. Et au-delà des zones tropicales
l’eau atteint difficilement la température requise.

Développement
d’un cyclone :
Les vents qui soufflent au dessus de l’océan
assurent le transfert de la chaleur vers les cellules orageuses.
Une colonne d’air chaud
s’élève dans
l’atmosphère et donne naissance à des
nuages géants. Au fur et à mesure où
cette colonne grandit, la colonne absorbe l’air chaud et
humide à la surface de la mer comme le ferait un immense
aspirateur.
La tempête se déplace en tournoyant au dessus de
l’océan.
Le mouvement de rotation sur lui-même déclenche
des vents violents qui convergent vers le centre du tourbillon et
peuvent dépasser 300 km/h ; mais le centre même,
appelé oeil du cyclone, est une région de calmes,
de 3 à 10 km de diamètre, par lequel redescend de
l'air sec.
Au début de sa formation, le tourbillon a un
diamètre d'à peine 100 km, en se
développant, il atteint de 300 à 600 km, plus
rarement 1 000 km.
Une fois formé au dessus de l’eau, le cyclone
s’auto-alimente en se déplaçant
à une vitesse
d’environ 30 km/h dans une direction découlant des
courants des masses d’air en présence.
Si
les conditions sont favorables, il continue de grossir et de
s’accélérer à cause de son
augmentation de diamètre. Si les conditions deviennent moins
favorables, il peut se stabiliser,
voir même régresser (baisse du flux
d’air chaud et humide ascendant, due à une baisse
de la
température de l’eau).
Un cyclone peut être vu comme une immense machine
à convertir la chaleur des océans tropicaux et de
l'atmosphère des Tropiques en vents et vagues. Mais
heureusement, ce ne sont pas des machines efficaces: seulement 3% de
toute l'énergie disponible est convertie.
Dans
l’œil même du cyclone on peut noter une
augmentation de la température de l’ordre de
10°C ou plus. Cela est dû à la pression
exercée sur l’œil (par les vents
subsidents (descendants) et ascendants au niveau du mur de
l’oeil) et qui engendre un phénomène de
compression. Ce qui a pour effet est donc le rapprochement des
molécules qui composent l'air de l'œil et donc des
chocs qui deviennent de plus en plus fréquents entre
celles-ci. Ces contacts entraînent donc une production
d'énergie thermique qui provoque une
élévation de la température.

(Image
satellite nous permettant de visualiser les températures.)
L'oeil apparait comme une zone chaude entourée de nuages
froids
Durée
de vie:
En général, un cyclone meurt après une
semaine à 9 jours de vie, selon la trajectoire qu'il a
suivie.
Mort d’un
cyclone :
Un cyclone s'affaiblit dès qu'une de ses sources
d'alimentation en énergie disparaît ou diminue :
- Quand il arrive sur les côtes terrestres, le flux
énergétique alimentant le cyclone qui a pour
origine l’évaporation et de condensation de
l’eau cesse, la température moyenne du cyclone va
baisse et accélère la condensation des cumulus
pour se dégonfler sous forme de pluies diluviennes. Il peut
alors se dissiper en 24h
-
Lorsqu'il arrive sur des océans dont les eaux de surface ne
sont pas assez chaudes.
-
Lorsqu'il subit les effets du cisaillement vertical du vent qui
déforme sa structure verticale.
-
Lorsque sa trajectoire se rapproche trop de
l'Équateur.
Remarque :
On peut voir dans le sillage d'un cyclone
une baisse notable de la température de l'eau
étant due au transfert de chaleur entre la mer
et le cyclone par evaporation de l'eau. 
III. Effet,
classification, dénomination et signes
avant-coureurs des cyclones
Effets d’un cyclone:
Les effets d’un cyclone sont multiples
et dissociés :
Video
des dégats de Katrina
Les
vents :
Le
cyclone s’accompagne toujours de vent violent
.L'intensité des vents et leurs changements brutaux de
direction sont à l'origine de dégâts
considérables. Ils dépassent aisément
les 150 km/h et peuvent exceptionnellement atteindre 370 km/h environ
à proximité de l'œil
La
vitesse du vent se traduit par une force sur son axe de
déplacement qui varie au carré de sa
vitesse. Par conséquent, la forte inflation des vents des
cyclones modernes provoquent des
dégâts qui évoluent exponentiellement
par rapport à l’augmentation de vitesse.
Un cyclone à 316 km/h est tout simplement 10 fois plus
violent qu’un cyclone à 100 km/h
(316² / 100² = 10).

Les
pluies :
Les cyclones sont associés à des pluies
diluviennes, puisque tôt ou tard, toute l’eau chaude
aspirée sur le plan océanique va se vider, sur
mer et/ou sur terre. La quantité de pluie varie avec la
vitesse de déplacement de l’ouragan.
Le relief amplifie les mouvements verticaux, et donc
l'instabilité, et les processus de condensation de la vapeur
d'eau
La
marée de tempête :
Le plus grand danger lorsqu'un ouragan touche terre après un
parcours au-dessus de la mer est la marée de
tempête. Un monticule d'eau se forme sous le centre de
l'ouragan, où l'eau est soulevée par aspiration
(à cause la pression très basse
régnant près de l'œil du cyclone)
.Au-dessus de l'océan, cette bosse est à peine
visible, mais elle grossit à mesure que le cyclone se
rapproche des côtes. C'est seulement lorsqu'elle touche les
côtes que l'eau envahit les terres et fait des
dégâts inimaginables!

Inondations :
Les
pluies diluviennes déversées par le cyclone
augmentent le niveau local de la mer de
plusieurs mètres, ou inonde totalement les terres,
à cause de leur intensité. De même la
marée de tempête provoque des inondations
à proximité des côtes.
Les
inondations provoquent également toujours des catastrophes
humanitaires différées :
après les premières victimes, les glissements de
terrain, puis le développement des
épidémies explosent le nombre des victimes.
Ce Schéma résume très
bien les impacts d’un cyclone sur les
humains, l’environnement et l’économie

Sur
cette photo on peut se rendre compte des dégats
occasionnés par le passage d'un cyclone:

Classification :
Elles commencent lorsque le vent dépasse
117 km/h (force 12). C'est à ce stade
que se forme l'œil
Deux échelles de classification existent,
en fonction de la valeur minimale de la pression
au centre de la dépression et de la
vitesse des vents :
L'échelle de Saffir-Simpson et l’échelle
de Dvorak
L'échelle
de Saffir-Simpson :
Utilisée principalement dans l'océan Atlantique
nord et dans l'océan Pacifique nord-est, elle
établit cinq classes en fonction des
dégâts causés, de la pression au centre
de la dépression et enfin du vent maximal soutenu durant une
minute.
Catégorie
1 :
Quelques dommages mineurs sur les maisons mobiles et les quais.
Vents : 117 à 153 km/h
Plus de 980 hPa
Catégorie 2 :
Dommages majeurs aux maisons mobiles et déracinement des
plantes.
Vents : 154 à 177 km/h
965 à 979 hPa
Catégorie 3 :
C'est au tour des gros arbres d'être
déracinés. Toits, fenêtres et portes
seront endommagés.
Vents : 177 à 209 km/h
945 à 964 hPa
Catégorie 4 :
Aucune maison mobile n'y survivra. Dommages importants aux sous-sols
des maisons.
Vents : 209 à 249 km/h
920 à 944 hPa
Catégorie 5 :
Destruction des grands édifices. Effondrement de plusieurs
toits. Dommages très très importants.
Vents : au-dessus de 249 km/h
Moins de 920 hPa
L’échelle
de Dvorak :
L’échelle de Dvorak relie un chiffre de 0
à 8 à une valeur de vent maximal soutenu et
correspond à une pression centrale du centre de la
dépression ainsi que la vitesse moyenne du vent soutenu
durant dix minutes. Elle est estimée dans les bassins
océaniques de l'Atlantique et du Pacifique nord-ouest.

Dénomination :
Les
cyclones tropicaux sont dénommés pour faciliter
la communication entre les prévisionnistes et le public
pendant les phases de prévision et d'alerte. Les cyclones
ont une durée de vie qui peut dépasser une
semaine et plusieurs de ces phénomènes peuvent
exister en même temps dans la même
région du Globe. Les baptiser par des noms courts et
familiers (donc faciles à mémoriser) permet de
réduire le risque de confusion entre les
phénomènes.
Un nom est affecté à toute perturbation dans
laquelle le vent moyen dépasse 63 km/h. Les noms
(généralement des prénoms
alternativement masculin et féminin) sont donnés
à partir de listes alphabétiques
préétablies, dans lesquelles on a
retiré les noms des cyclones les plus
dévastateurs.
Les noms des cyclones :
-Le centre de Miami utilise six listes de prénoms par
roulement annuel, le premier ouragan de l'année porte un nom
commençant par
la lettre A.
- Le centre météorologique de l'île de
la Réunion attribue aux tempêtes tropicales et
cyclones des prénoms d'origine française,
malgache ou mauricienne.
- Les tempêtes tropicales et cyclones du nord de
l'océan Indien ne sont pas désignés
par un prénom mais un numéro d'identification
suivi d'une lettre, A ou B, selon que le
phénomène se forme en mer d'Arabie ou dans le
golfe du Bengale.
- Les typhons du Pacifique nord-ouest, du sud-est de l'océan
Indien, du nord de l'Australie et du Pacifique sud-ouest portent un nom
pris dans quatre listes sans initialisation annuelle.
Les signes
précurseurs d’ un cyclone :
Est t’il possible de prévoir un cyclone ? en tout
cas voila certains signes avant coureurs :
Le premier signe précurseur est la houle cyclonique, qui se
propage à une vitesse supérieure à
celle du cyclone. L'importance et les variations de sa direction,
hauteur et fréquence renseignent sur la distance du
phénomène et sur l'orientation de sa trajectoire.
Une pression anormalement élevée par rapport aux
jours précédents, associée
à une atmosphère limpide, peuvent renseigner sur
la présence encore éloignée d'un
cyclone.
La présence de nuages, et notamment Cirrus et cirrostratus ,
avant que la pression n'ait commencé à chuter,
renseignent sur la direction dans laquelle se trouve le
phénomène et sur son importance.
Les animaux perçoivent les ultrasons émis par le
cyclone, tandis que les oiseaux de mer s'éloignent loin
à l'intérieur des terres.

Aujourd’hui, les stations météorologiques
parviennent à détecter la formation
d’un cyclone au dessus de l’océan.
Par contre, il est plus difficile de prévoir
sa direction. De nombreux outils sont à
leur disposition : surveillance des satellites
météorologiques, analyse des
séries statistiques, radars
Doppler ...
Les saisons cycloniques :
Dans l'hémisphère nord, la saison cyclonique
s'étend de juin à novembre. Dans
l’océan Atlantique et les mers adjacentes, les
cyclones restent rares en juin et en novembre, la saison cyclonique est
à son apogée entre début juillet et
fin octobre.
Dans l'hémisphère sud, la saison cyclonique
s'étend de novembre à début mai.
IV
.Conclusion :
Nous
avons vu que différents facteurs interviennent dans la
création d’un cyclone tel que des conditions
géographiques, atmosphériques, dynamique,
thermiques, et d’hygrométries bien
précises.
Un cyclone ne peut se former uniquement si toutes ces conditions sont
réunies.
Ces dernières années ont
été très riche en tempête
tropicale violentes .On peut penser que cela est lié au
réchauffement climatique. En effet si la
température de l’eau augmente cela les zones
pouvant être cyclonique (plus de plans d’eau
susceptible d’atteindre 26.5°C sur 60 m) et par
conséquent l’évaporation
étant plus importante les cyclones sont plus violents.
Une tempête tropicale a pour principal effet des vents
violents pouvant dépasser les 300 km/h, des pluies
diluviennes, ainsi qu’un raz de marrée
appelé marée de tempête pouvant
atteindre plus 10m.
Un
cyclone est toujours annoncé par des signes avant-coureurs
que sont chargé de détecter certains centres
météorologiques spécialisés
repartis dans les zones à risque pour permettre
d’évacuer la population. En effet un cyclone est
un risque majeur contre lequel l'Homme ne peut que se
protéger de manière passive : on ne peut pas
l'empêcher de naître. Les seules mesures possibles
relèvent de la protection pour atténuer les
dégâts et limiter l'impact humain et
économique.
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